Sa carrière professionnelle elle l'a commencé aux côtés d'Antonio Gades et ensuite elle fut la première danseuse de la troupe de Mario Maya et des ballets de Rafael Aguilar et Maria Rosa. L'intelligence et maturité de son art, si voluptueux dans son contenu, l'élégance de son "zapateado" et l'hypnotique style de ses longs bras, lui confèrent une manière très spéciale de comprendre le flamenco, respectant la tradition mais incluant une touche de modernité. Pagés a créé sa troupe en 1990 pour pouvoir explorer son propre univers créatif, et pour sa tournée anniversaire la compagnie offre trois spectacles: "Autorretrato", "Sevilla" et "Flamenco Republic". C'est avec ce montage spécial que se ferme la saison 2009-2010 de la Maestranza, qui ferme avec un total de 156'000 spectateurs et un 92% de moyenne d'occupation. Le spectacle commencera à 20h30 et le prix des entrées oscille entre 33 euros et 19 euros. Les entrées, un maximum de quatre entrées par personne, peuvent s'acheter sur Internet www.teatromaestranza.com ou directement sur place, du lundi au samedi de 10h à 14h et de 17h30 à 20h30, ou par téléphone au 954 22 65 73. Source: europapress.esPhoto. www.teatromaestranza.com |
María Pagés fête les 20 ans de sa troupe au Théâtre de la Maestranza à Séville

La danseuse María Pagés présente ce mardi et mercredi au Théâtre de la Maestranza de Séville, à l'occasion du Cycle de Danse, son spectacle "Mirada" (Regard) avec lequel l'artiste de Séville fête les 20 ans de sa compagnie. Un occasion spéciale où le cinéma et la radio ont inspiré ses chorégraphies; avec la musique de Rubén Lebaniegos, et la voix off de l'acteur de Séville Juan Diego, comme fil conducteur.Danseuse éblouissante, admirée par des légendes de la danse comme Mikhail Baryshnikov, son "excitante" curiosité créative l'ont amenée à danser de manière pure et traditionnelle mais en même temps c'est une figure révolutionnaire du flamenco, des musiques surprenantes telles que la "Casta diva" de Bellini ou une valse de Shostakovich, sans jamais perdre son naturel ni son essence.