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Description:
Ce disque 'Canastera' représente le début du côté expérimental entre les deux artistes.
Il coïncide temporellement parlant avec El Duende flamenco de Paco de Lucia (1972) et reflète la même sonorité que 'rever'. Ce disque débute avec une tentative de création de chant, la canastera, avec un refrain qui rappelle la chanson populaire 'Ojos verdes' de Valverde,Léon et Quiroja, basée sur des changements que Paco de Lucia apportait alors à la touche 'rondeña' de Ramón Montoya. Tout le disque est imprégné des nouveautés que Paco de Lucia développe sur les différentes touches de El Duende. De plus il met en avant les 'falsetas' de Fuente y Caudal (1973) en 'soleares et cartagenera'. A nouveau nous trouverons des tangos lents rimant avec 'granaina', quelques 'verdiales' qui commencent par une 'falseta de soleares' et exécutés avec des airs 'buleaeros', une insolite 'buleria' sans palmas où Paco réalise diverses 'falsetas' de 'Punta del Faro', proposant une infinité de compléments au chant, modèle d'accompagnement de maîtrise populaire aujourd'hui et base du style de Tomatito dans ce
'palo'. Ce qui attire notre attention ce son les réponses originales à Camaron, inouies et différentes de ce qui a été gravé jusqu'ici, et surtout cette constante utilisation des accords de 'paso ' (accords en septième mineur) afin de passer d'un grade à l'autre dans les cadences andalouses, ce qui est nouveau aussi c'est le chant de Camaron qui acquiert personnalité en développant une partie des mélodies traditionnelles, cherchant la dissonance de l'accord marqué par la guitare, ce qui produira une certaine sensation de 'desafinado' pour une oreille habituée au côté traditionnel : le style de Camaron naissait.
Il coïncide temporellement parlant avec El Duende flamenco de Paco de Lucia (1972) et reflète la même sonorité que 'rever'. Ce disque débute avec une tentative de création de chant, la canastera, avec un refrain qui rappelle la chanson populaire 'Ojos verdes' de Valverde,Léon et Quiroja, basée sur des changements que Paco de Lucia apportait alors à la touche 'rondeña' de Ramón Montoya. Tout le disque est imprégné des nouveautés que Paco de Lucia développe sur les différentes touches de El Duende. De plus il met en avant les 'falsetas' de Fuente y Caudal (1973) en 'soleares et cartagenera'. A nouveau nous trouverons des tangos lents rimant avec 'granaina', quelques 'verdiales' qui commencent par une 'falseta de soleares' et exécutés avec des airs 'buleaeros', une insolite 'buleria' sans palmas où Paco réalise diverses 'falsetas' de 'Punta del Faro', proposant une infinité de compléments au chant, modèle d'accompagnement de maîtrise populaire aujourd'hui et base du style de Tomatito dans ce
'palo'. Ce qui attire notre attention ce son les réponses originales à Camaron, inouies et différentes de ce qui a été gravé jusqu'ici, et surtout cette constante utilisation des accords de 'paso ' (accords en septième mineur) afin de passer d'un grade à l'autre dans les cadences andalouses, ce qui est nouveau aussi c'est le chant de Camaron qui acquiert personnalité en développant une partie des mélodies traditionnelles, cherchant la dissonance de l'accord marqué par la guitare, ce qui produira une certaine sensation de 'desafinado' pour une oreille habituée au côté traditionnel : le style de Camaron naissait.
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