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Nous sommes ouverts du lundi au vendredi de 10h à 13h30 et de 17h00 à 20h00 et le samedi de 10h à 13h30 (GMT + 1)
En 2022, nous serons fermés les jours fériés suivants: 1er et 6 janvier, 14, 15 et 16 avril, 2 et 16 mai, 25 juillet, 12 octobre, 16 août, 1er et 9 novembre, 6, 8 , 9 et 26 décembre.
Nous sommes situés à Calle Campomanes nº 4, Madrid 28013, Espagne.
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Deux surnoms artistiques séparés par un diminutif qui éblouissent le monde de la danse espagnole durant la première moitié du XXème siècle. Un des surnoms, La Argentinita, appartient à une femme très passionnée et entourée de scandales, atteignant une renommée encore bien vivante. L'autre surnom, La Argentina, est aujourd'hui moins connu, mais correspond à la danseuse espagnole la plus sagace de son temps. Ou devrions-nous dire à la danseuse la plus moderne et sophistiquée. Antonia Mercé a tiré la danse flamenco des tablaos purs et durs et l'a dotée d'attributs esthétiques conférant à cette danse le pouvoir de s'élever à un très haut niveau chorégraphique mais sans jamais renoncer à ses racines ancestrales.
D'un autre côté l'interaction perpétuelles musicale et scénique de La Argentina avec des figures vangardistes (Falla, García Lorca, Granados, Néstor de la Torre, Joaquín Nin…) et avec des danseurs mythiques comme Vicente Escudero, la situe à un carrefour décidif dans la culture espagnole contemporaine. Lors de sa mort (le 18 juillet 1936) la presse internationale l'a décrite avec une phrase parfaitement stéréoptypée mais pas tout à fait fausse: elle avait été la Pavlova du flamenco.
275 pages.