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29

MAR

L’auberge du Poulain s’imprègne du flamenco

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Flamencos Nouvelles
Posada del Potro

Cette cours de voisins cordobes qui date du XV siècle a été la protagoniste de passages littéraires mis en oeuvre tels que Don Quichote, de Miguel de Cervantes. Il s’agit d’une maison typique qui a maintenu son usage d’auberge depuis sa construction jusqu’en 1972. Son architecture traditionnelle, avec un patio central, depuis lequel on voit les dépendances sur deux étages, a transformé ce coin tranquille cordobes en une publicité touristique qui transporte celui qui le visite à l’époque de chevaliers.

Maintenant, la mairie de la ville andalouse l’a réhabilité, respectant l’essence du bâtiment et offrant ainsi aux visiteurs une valeur ajoutée pour l’avoir convertie en Maison du flamenco- centre “fosforito”.

Le rez-de-chaussée devient donc le centre d’interprétation de Flamenco, avec cinq salles, et c’est justement dans l’une d’elle que se centre sur la figure du célèbre chanteur Puente Genil, Antonio Fernández ‘Fosforito’, fils adoptif de Córdoba. Les admirateurs de cet artiste peuvent trouver des objets personnels du chanteur, images, couvertures de disques et enregistrements.

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Il existent encore des détails à régler pour finir ce nouveau centre dédié à l'art flamenco et certaines choses doivent être complétées, cependant, après quatre ans fermée au public, il y avait beaucoup de personnes qui désiraient pouvoir s'approcher de l’auberge del Poulain dans sa nouvelle étape et jouir du charme de cet environnement particulier.

De plus, l’activité flamenca a commencé et on peut contempler actuellement l’échantillon exceptionnel de photographie du concours national d’art flamenco 2004 et 2007 de Jose Nievas et Maria Moya.

L’auberge du Poulain

Sur la place du Poulain, récemment refaite et presidée par un poulain, se situe l’auberge du même nom. Il s’agit de l’un des Linux les plus emblématiques de la ville car c’est l’un des reflets de l’architecture traditionnelle des XIV et XV siècles.

 Sa singularité s’accroit car elle a été la protagonsite de paysages littéraires et autant l’auberge comme le quartier sont mentionnés par Miguel de Cervantes dans Don Quichote et une plaque du Musée de Julio Romero de Torres qui date de 1917 le reflète.

D’autres mouvements historiques ont été joués sur cette place, quelques uns d’entre eux, terribles pour leur virulence comme Pedro I Le cruel, a fait honneur à son pseudonyme faisant dépecer l’aubergiste pour avoir essayé de voler un militaire à son service.

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