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Palos du flamenco Flamenco

  • Chant sans guitare, appartenant au groupe des libres.
    Une saeta est une courte chanson à caractère religieux chantée en l'honneur d'un paso lors des cérémonies de la Semaine Sainte en Espagne. A certains moments clefs du parcours d'un paso, un membre du public, ou de la confrérie responsable du paso peut entonner à pleins poumons une saeta. Il s'agit en fait d'une ode à la Vierge, au Saint ou au Christ du paso. Les saeta sont généralement des chansons extrêmement émouvantes. Il est coutumier que la foule entourant le passage du paso soit totalement silencieuse lors du chant de la saeta.
  • Appartient au groupe des seguiriyas, style métrique de 12 temps.
    La Seguiriya ou Siguiriya est un « palo » (style de chant) du flamenco. Il fait partie des chants de base regoupés sous le terme de «cante jondo». C'est un chant libre dont la structure rythmique est de douze temps, qui dans sa forme traditionnelle, se chante accompagné par un guitariste, mais on connait des versions a cappella sous sa forme primitive. Il dérive des chant a palo seco (voix seule), et est apparenté aux livianas et serranas, mais n'a pas de rapport avec la Séguédille qui est une danse andalouse, alors que la seguiriya ne se danse pas.
    Le style des seguiriyas varie selon les régions d'Andalousie. Celles de de Triana sont les plus anciennes. Les thèmes de ces chants sont souvent tragiques.

  • Appartient au groupe des seguiriyas, style métrique de 12 temps.
    La Seguiriya ou Siguiriya est un « palo » (style de chant) du flamenco. Il fait partie des chants de base regoupés sous le terme de «cante jondo». C'est un chant libre dont la structure rythmique est de douze temps, qui dans sa forme traditionnelle, se chante accompagné par un guitariste, mais on connait des versions a cappella sous sa forme primitive. Il dérive des chant a palo seco (voix seule), et est apparenté aux livianas et serranas, mais n'a pas de rapport avec la Séguédille qui est une danse andalouse, alors que la seguiriya ne se danse pas.
    Le style des seguiriyas varie selon les régions d'Andalousie. Celles de de Triana sont les plus anciennes. Les thèmes de ces chants sont souvent tragiques.
  • Seguirya, appartient à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des seguirya, un chant de base, style métrique de 12 temps. Egalement appelé "playera". Il s'agit d'un palo flamenco, chant tragique, fort, sombre et désolant, interprété de forme posée et lente. Un des "palos" flamencos des plus importants. Les paroles de ses chansons son tragiques qui reflètent la souffrance des relations humaines, l'amour et la mort. Composé de quatre vers de six syllabes pour le premier, deuxième et quatrième, et d'un endécasyllabe pour le troisième vers. Le deuxième vers et le quatrième riment en consonne ou assonant. La structure dans ce cas n'est pas stricte, le sentiment prime sur la forme, et il n'est pas rare trouvé des Seguiryas avec une autre métrique (7-7-11-7 et 8-5-11-6). Une forme moins connue est la structure 6-11-6, ici riment le premier et le troisième vers et on répète le deuxième vers..

  • La Seguiriya ou Siguiriya est un « palo » (style de chant) du flamenco. Il fait partie des chants de base regoupés sous le terme de «cante jondo». C'est un chant libre dont la structure rythmique est de douze temps, qui dans sa forme traditionnelle, se chante accompagné par un guitariste, mais on connait des versions a cappella sous sa forme primitive. Il dérive des chant a palo seco (voix seule), et est apparenté aux livianas et serranas, mais n'a pas de rapport avec la Séguédille qui est une danse andalouse, alors que la seguiriya ne se danse pas.
    Le style des seguiriyas varie selon les régions d'Andalousie. Celles de de Triana sont les plus anciennes. Les thèmes de ces chants sont souvent tragiques.


    Les répertoires de la seguiriya sont répartis selon leurs apparitions dans le territoire du cante jondo, qui comprend les provinces de Séville et de Cadix. Les seguiriyas de Triana sont les plus anciennes, suivent celles de Los Puertos, de Cadix, et de Jerez. Ces répertoires se développent à partir de la fin du XVIIIeme siècle jusqu'aux années 1940

  • Serranas, appartiennent à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des seguiryas, métrique de 12 temps, groupe des seguiryas. La Serrana est un chant de campagne andalous. La Serrana a également vécu dans les vignes de Jerez. Après, la serrana de la campagne est passée dans les villes et a cherché dans les six cordes de la guitare rythmique un appui pour l'accompagner.

  • La sevillana est une danse populaire espagnole originaire de Séville, qui se danse à deux, à un ou plusieurs couples, en cercle ou en groupe.
    Cette danse traduit à la fois l'approche, l'affrontement, la fuite et l'amour. Elle est exécutée sur une mélodie chantée.


    Les origines de la sévillane demeurent assez obscures. La sevillana est la danse traditionnelle, folklorique de Séville, mais comme c'est également un berceau du flamenco, les deux sont mélangés depuis longtemps. Toutefois, des influences se devinent, telles que la danse orientale ou extrême-orientale. Dès le XVIIe siècle apparaît une forme de danse, dérivée des chacona (chaconne) et zarabanda (sarabande) des XVe et XVIe siècles, très populaires à travers toute l'Espagne, la seguedilla. En Andalousie, elle prend le nom de seguedilla sevillana, puis de sevillana.
    Actuellement, on peut la danser lors de ferias et/ou romerias en Espagne (Sevilla, Jerez, Barcelone ...) mais également dans le sud de la France (Arles, Nîmes, Dax, Mauguio, Béziers ...) dans des casetas (tentes) réservées ou non à cet effet. La sevillana se danse a deux ou en carré.


    Les sévillanes se dansent par séries de quatre coplas (danse) à la fin desquels le couple s'immobilise, un bras en l'air, avec une pose de quelques secondes. Cet arrêt, qu'il faut marquer nettement, s'appelle le bien parado (l'arrêt bien fait).
    Chaque sévillane a une chorégraphie différente, de la plus simple à la plus difficile. Elles ont le nom de leurs positions chronologiques : primera, segunda, tercera et cuarta. Chaque sévillane est partagée en 3 parties correspondant aux trois strophes de chaque chanson, illustrées par des pas et des figures distincts. Quatre couplets sont exécutés à la suite ; entre chacun d'eux on marque un bref arrêt. Le final, est identique pour les 4 sévillanes.
    Une légende veut attribuer à chacune des parties de cette danse une connotation romantique : la rencontre, la séduction, la dispute et la réconciliation. S'il y a quatre danses dans une sevillana, il y a aussi quatre raisons qui neutralisent cette pseudo-légende:1+1=2


    Il est important de rejeter son buste en arrière, d'élever et d'arrondir les bras et de tourner les paumes des mains vers l'extérieur.
    La sévillane est la danse même de la séduction : la femme avance, puis se dérobe, elle aguiche d'un pli relevé de sa jupe. Les corps se frôlent, ne se rencontrent pas ; ce sont les yeux qui jouent, les regards plantés l'un dans l'autre, et c'est seulement dans le dernier geste du bien parado qu'enfin la femme s'abandonne dans les bras de son danseur.

  • La sevillana est une danse populaire espagnole originaire de Séville, qui se danse à deux, à un ou plusieurs couples, en cercle ou en groupe.
    Cette danse traduit à la fois l'approche, l'affrontement, la fuite et l'amour. Elle est exécutée sur une mélodie chantée.
    Les origines de la sévillane demeurent assez obscures. La sevillana est la danse traditionnelle, folklorique de Séville, mais comme c'est également un berceau du flamenco, les deux sont mélangés depuis longtemps. Toutefois, des influences se devinent, telles que la danse orientale ou extrême-orientale. Dès le XVIIe siècle apparaît une forme de danse, dérivée des chacona (chaconne) et zarabanda (sarabande) des XVe et XVIe siècles, très populaires à travers toute l'Espagne, la seguedilla. En Andalousie, elle prend le nom de seguedilla sevillana, puis de sevillana.
    Actuellement, on peut la danser lors de ferias et/ou romerias en Espagne (Sevilla, Jerez, Barcelone ...) mais également dans le sud de la France (Arles, Nîmes, Dax, Mauguio, Béziers ...) dans des casetas (tentes) réservées ou non à cet effet. La sevillana se danse a deux ou en carré


    Les sévillanes se dansent par séries de quatre coplas (danse) à la fin desquels le couple s'immobilise, un bras en l'air, avec une pose de quelques secondes. Cet arrêt, qu'il faut marquer nettement, s'appelle le bien parado (l'arrêt bien fait).

    Chaque sévillane a une chorégraphie différente, de la plus simple à la plus difficile. Elles ont le nom de leurs positions chronologiques : primera, segunda, tercera et cuarta. Chaque sévillane est partagée en 3 parties correspondant aux trois strophes de chaque chanson, illustrées par des pas et des figures distincts. Quatre couplets sont exécutés à la suite ; entre chacun d'eux on marque un bref arrêt. Le final, est identique pour les 4 sévillanes.

    Une légende veut attribuer à chacune des parties de cette danse une connotation romantique : la rencontre, la séduction, la dispute et la réconciliation. S'il y a quatre danses dans une sevillana, il y a aussi quatre raisons qui neutralisent cette pseudo-légende:1+1=2

    1) les couplets des premières sevillanas étaient au nombre de sept : quatre pour la danse populaire et trois pour la classique Bolera.
    2) les couplets des premières sevillanas étaient écrits individuellement et traitaient de sujets très différents les uns des autres - Ils étaient rassemblés par quatre pour pouvoir danser.Il faut attendre les compositeurs modernes pour trouver des sevillanas écrites avec un thème unique.
    3) Il n'existe pas à ma connaissance de sevillanas composées de couplets traitant de ces thèmes dans cet ordre.
    4) Une grande partie des sevillanas est Rociera. Même si elles ne parlent pas systématiquement de la Vierge (Virgen) elles s'y réfèrent très souvent- Vous vous voyez vous disputer avec la vierge?


    C'est sans doute pour aider les jeunes danseurs (non hispaniques) à s'exprimer que cette dérive est née.


    Il est important de rejeter son buste en arrière, d'élever et d'arrondir les bras et de tourner les paumes des mains vers l'extérieur.

    La sévillane est la danse même de la séduction : la femme avance, puis se dérobe, elle aguiche d'un pli relevé de sa jupe. Les corps se frôlent, ne se rencontrent pas ; ce sont les yeux qui jouent, les regards plantés l'un dans l'autre, et c'est seulement dans le dernier geste du bien parado qu'enfin la femme s'abandonne dans les bras de son danseur.

  • Soleares, appartient à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des soleares, un chant de base.
    Alegrias. Les Alegrias appartiennent à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des soleares/solea, chants de danse, style métrique de 12 temps. Un chant festif flamenco quie fait partie du groupe des chants de Cadiz (appelés Cantiñas). Sa chanson ou strophe est généralement de quatre vers octosylabiques. Sa mélodie incite à la danse. Son rythme est conditionné par la métrique du compas/mesure de la solea, mais est différente de la soleá parce que son tempo est beaucoup plus rapide. Un style léger, joyeux et sensuel, avec un rythme claire, très dansant.

  • Soleares, appartiennent aux chants de base.
    La Soleá est un des palos (styles) de chant, de guitare, de rythme et de danse les plus important et fondamental du flamenco. Elle fait partie des cante jondo (Chants profonds). On retrouve le compás de la Soleá dans d'autres styles comme l'Alegrías, la Bulerías et même la Seguiriya.

    En espagnol, "solea" est une contraction de "soledad", qui signifie "solitude". La solea se caractérise par un rythme lent et élastique, et par des textes de chant souvent dramatiques.

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