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Palos du flamenco Flamenco

  • Appartient au groupe des soleas, style métrique de 12 temps. Un chant généralement réservé aux mariages gitans. Pour les cantaores gitans il s'agit d'un chant qui ne devrait pas être chanté au-delà des mariages. Le rythme et l'accompagnement de la guitare sont identiques à ceux de la solea. Les paroles sont généralement regroupées en strophes hexasyllabiques. Chant avec influence de la Soleá.
  • Appartient au groupe des soleas, style métrique de 12 temps. Un chant généralement réservé aux mariages gitans. Pour les cantaores gitans il s'agit d'un chant qui ne devrait pas être chanté au-delà des mariages. Le rythme et l'accompagnement de la guitare sont identiques à ceux de la solea. Les paroles sont généralement regroupées en strophes hexasyllabiques. Chant avec influence de la Soleá.
  • Les Alegrias appartiennent aux chants que l'on peut danser, un chant festif flamenco qui fait partie du groupe des chants de Cadix (appelés Cantiñas). Son chant ou strophe est généralement de quatre vers octosyllabiques. Sa mélodie incite à la danse. Son rythme est conditionné par le système métrique du compas de la solea, mais se distingue de la solea beaucoup plus rapide. Un style léger, joyeux et sensuel, avec un rythme clair de danse.
  • Appartient au groupe des soleas, métrique de 12 temps.
    Les Alegrias sont un chant festif flamenco, du groupe des Cantiñas (chants de Cadix par excellence). Sa copla se compose généralement de quatre vers octosyllabiques. Sa mélodie est de caractère festif et incite à la danse. Son rythme est conditionné par la métrique du compas de la solea, mais est différent de part son tempo plus rapide.
  • Appartient au groupe des soleas, métrique de 12 temps.
    Les Alegrias sont un chant festif flamenco, du groupe des Cantiñas (chants de Cadix par excellence). Sa copla se compose généralement de quatre vers octosyllabiques. Sa mélodie est de caractère festif et incite à la danse. Son rythme est conditionné par la métrique du compas de la solea, mais est différent de part son tempo plus rapide.
  • Appartient au groupe des solea, style métrique de 12 temps. Régulièrement chaque couplet d'un des choeurs est contesté par un autre couplet de l'autre choeur. La bamba a quatre vers octosyllabiques, le premier et le troisième peuvent être heptasyllabiques et le second et le quatrième pentasyllabiques. Généralement on répète les deux premiers vers à la fin de la copla.
  • Appartient au groupe des solea, style métrique de 12 temps. Régulièrement chaque couplet d'un des choeurs est contesté par un autre couplet de l'autre choeur. La bamba a quatre vers octosyllabiques, le premier et le troisième peuvent être heptasyllabiques et le second et le quatrième pentasyllabiques. Généralement on répète les deux premiers vers à la fin de la copla.
  • La bulería est un des compás du flamenco.
    La bulería est née avec l'accélération du compás de la Soleá, elle est apparue vers le milieu du XIXe siècle.
    Le compas de la bulería est donc identique à celui de la Soleá: deux groupes de trois temps et trois groupes de deux temps.
    La particularité du compás de bulería est que le premier temps du compás est le 12 et non le 1.
  • Cabales, appartiennent aux chants de base, au groupe de la Soleá et style métrique de 12 temps. Chant connu sous le nom de cabales, mais ce n'est autre chose qu'une seguiriya modifiée. Cette dénomination est attribuée au "Fillo".

  • Appartient au groupe des seguiriyas, style métrique de 12 temps. Ce chant est connu sous le nom de Cabales, mais il s'agit d'une seguirya changée. Ce nom est attribué pa El Fillo.
  • Cante de Trilla/Chant de Trilla, appartient aux styles de la campagne. Le chant de Trilla, qui mélodiquement ressemble beaucoup aux berceuses, n'est pas un chant exclusivement andalous.
    Il existe des chants de Trilla originaux en Castille. Ce chant ne s'appuie pas sur un compas de guitare et son rythme est uniquement soutenu par l'accompagnement des grelots aigus et clairs pendus sur les ornements des chevaux et par les voix qui encouragent et stimulent le travail des bêtes.
  • Les Caracoles appartiennet aux chants que l'on danse, au groupe des soleas, avec une métrique de 12 temps. Les Caracoles actuels proviennent d'une ancienne Cantiña appelée "La Caracolera", Cantiña de Cadix, naturellement on peut la danser. Avec le temps les cantaores ont agrandi ces chants en rajoutant des strophes ou les mélangeant avec d'autres cantiñas.
  • Appartient au groupe des soleas, style métrique de 12 temps. Les actuelles Caracoles viennent d'une ancienne Cantiña intitulée "La Caracolera", Cantiña de Cadix, évedemment chant que l'on danse et que les cantaores ont transformé en rajoutant des couplets ou les mélangeant à d'autres cantiñas.
  • Appartient au groupe des soleas, style métrique de 12 temps. Les actuelles Caracoles viennent d'une ancienne Cantiña intitulée "La Caracolera", Cantiña de Cadix, évedemment chant que l'on danse et que les cantaores ont transformé en rajoutant des couplets ou les mélangeant à d'autres cantiñas.
  • Appartiennent au groupe des libres. Un palo flamenco. Généralement un chant avec copla de quatre vers octosyññabiques. Comme les Martienetes on les considère comme une forme de la toná qui dédia ses paroles à des thèmes comme la prison ou les condamnés. Groupe des tonás. Interprétés sans guitare (a palo seco).
  • Chant du Levant, de l'est, style flamenco des provinces orientales, Almeria et Murcia, chant des mines, métrique libre. Née de la Taranta, avec certaines inflexions de la Malagueña, la Cartagenera peut se situer émotivement entre ces deux chants.
  • Chant des mines, métrique libre. Il s'agit également d'un chant avec copla de quatre vers octosyllabiques. Née de la Taranta, avec certaines inflexions de la Malagueña, la Cartagenera peut se situer entre ces deux chants. Appartient au groupe des Cantes de Levante, d'exécution libre.
  • Chants sans guitare, appartenant au groupe des libres. Debla, en dialecte calé, signifie "diosa". Ainsi les gitans on voulu proclamer comme déesse à ce style de flamenco. Lien de parenté avec le martinete et la carcelera. La Debla, très ressemblante au Martinete, a une structure plus ample, plus chargée de melismes, plus douloureuse.
  • Chants sans guitare, appartenant au groupe des libres. Debla, en dialecte calé, signifie "diosa". Ainsi les gitans on voulu proclamer comme déesse à ce style de flamenco. Lien de parenté avec le martinete et la carcelera. La Debla, très ressemblante au Martinete, a une structure plus ample, plus chargée de melismes, plus douloureuse.
  • Le "Polo" appartient aux chants de base, au groupe des Solea, style métrique de 12 temps. Chant flamenco très ancient, proche de la Caña. Les racines du Polo remontent aux plus antiques origines du chant andalous. Pour trouver les racines il faut remonter à l'époque où l'on créait les chansons romantiques et les "cantiñas" dansantes.
    Musicalement on le joue en 3/4 ou 6/8 (ou les 2) à une vitesse modérée.
    Normalement elle est jouée accompagnée de maracas, même s'il n'existe par d'instruments strictes pour son accompagnemen et comme toute musique folklorique est peut s'adapter à de petits et grands ensembles.
    La mélodie évolue sur une variation de quatre tons, la répétition évoque les vagues de la mer, en apparence les mêmes mais toujours différentes et nouvelles. Chantés en vers qui varient en fonction de la chanson.
    Souvent on le connaît aussi comme le "Polol Margariteño", à cause de sa présence sur l'île Maragrita. Un des chants profond andalous que l'on perd de nos jours, et dont la généalogie est difficile de confirmer. Rares sont les canatores qui connaissent ce style. Il fut aimé par les meilleurs cantaores des diverses époque, commme El Fillo, El Nitri, Curro Dulce et d'autres.
  • Le fandango est un style musical et une danse traditionnelle espagnole de couple, d'origine andalouse, sur un rythme 3/4 ou 6/8, accompagnée de castagnettes et de guitare qui peut être chantée.
    Connu dès le XVIIe siècle, le fandango est de rythme ternaire (3/4) et de tempo assez rapide (allegretto) ; il était autrefois un 6/8 lent. L'étymologie arabe du terme semble douteuse ; on lui préfère une origine africaine. La danse fut introduite en Europe par les Espagnols qui revenaient des Indes occidentales après avoir fréquenté les Noirs déportés de Guinée.
    Le fandango est en mode mineur, d'un mouvement à la fois animé et voluptueux, et sans finale marqué, ce qui permet de le recommencer autant de fois qu'on veut. Le fandango s'exécute à deux, au son de la guitare ; les danseurs en marquent le mouvement avec des castagnettes et en frappant du talon.
    On danse aussi le fandango en forme de contredanse à 4 couples (séguédille). Connu depuis le XVIIe siècle, le fandango fit l'admiration de Casanova qui en appréciait les accents amoureux.
    À la fois danse de ville et de théâtre, le fandango est l'une des danses espagnoles les plus anciennes et les plus courantes.
    Le fandango est également une danse traditionnelle portugaise de la région du Ribatejo. On le retrouve aussi au Nouveau Monde.


    Caractérisé par des mouvements vifs, le fandango se pratique en couple avec un accompagnement à la guitare et aux castagnettes. Ses origines remontent au XVIIe siècle, époque où son rythme était relativement plus lent ; le fandango est alors dansé de l'Andalousie et l'Estrémadure jusqu'aux Asturies et au Pays basque, en passant par les provinces du Levant, sans oublier le Portugal et l'Amérique.
    Il existe des variantes régionales ou locales du fandango, dont la dénomination varie selon les lieux : murcianas, malagueña, granaínas, cartageneras, tarantas ou bandolás. Toutes sont apparentées à la séguédille castillane et au boléro.


    Le fandango possède une ramification mineure : le fandanguillo ou fandango de Cadix. Il s'agit d'un chant et d’une danse populaires comprenant une introduction à la guitare sur neuf temps, appelée salida (« sortie »), qui précède le couplet de six vers.

  • Appartient au groupe métrique ternaire. Entre ces styles les plus transcendantaux sont ceux de Lucena et de Huelva. Ces derniers sont des chant naïfs et malicieux à la fois, suivant la construction du fandango classique quant à sa structure, mais sa mélodie est originale et ptrès personnelle.
  • Fandango malagueña, du groupe métrique ternaire. Dans la région de Malaga on les appelle les Verdiales, vraisemblablement originaire de cette classe de manifestion artistique. Dans le reste des provinces andalouses, comme Almeria, on les appelle Fandanguillos. A La Alpujarra le fandango est la danse typique du Trovo.
  • Fandangos, appartiennent à la branche du chant andalous et s'inclut dans la famille des Fandangos, chants dansants. El Fandango est un air populair dansant, executé par un couple, mouvements vifs. Le compas est ternaire, les vers octosyllabes et on emploie fréquemment les castagnettes, liens de parentée avec la jota.
    Depuis le début du XIXème siècle, le flamenco a adopté certaines caractéristiques des fandangos andalous, créant ainsi les "Fandangos aflamencados" considérés aujourd'hui comme un de palos flamenco de base.
  • Fandangos de Huelva, appartenant à la branche des chants andalous et inclus dans la famille des Fandangos, chants dansants, métrique ternaire. Le Fandango est un des chants les plus généralisés deu folklore du Sud. Parmis ces styles les plus importants sont ceux de Lucena et ceux de Huelva. Ces derniers sont des chants à la fois ingénus et malicieux, suivant la construction du fandango classique quant à sa structure, mais sa mélodie est originale et très personnelle.
  • La Farruca (de l'arabe faruq) est une danse andalouse d'origine galicienne qui fait partie du répertoire du flamenco de haut niveau technique. De rythme binaire et appartenant au groupe des tangos.

    Le mot désigne également un rythme traditionnel de flamenco avec accompagnement à la guitare.

    A l'origine, c'est une danse principalement masculine exécutée en soliste. Léonide Massine (1896-1979) introduisit une farruca devenue légendaire dans son ballet Le Tricorne (1919). Plus récemment, Antonio Gades (1936-2004) interpréta une brillante farruca dans le film de Carlos Saura Carmen.


  • La Farruca (de l'arabe faruq) est une danse andalouse d'origine galicienne qui fait partie du répertoire du flamenco de haut niveau technique. De rythme binaire et appartenant au groupe des tangos.

    Le mot désigne également un rythme traditionnel de flamenco avec accompagnement à la guitare.

    A l'origine, c'est une danse principalement masculine exécutée en soliste. Léonide Massine (1896-1979) introduisit une farruca devenue légendaire dans son ballet Le Tricorne (1919). Plus récemment, Antonio Gades (1936-2004) interpréta une brillante farruca dans le film de Carlos Saura Carmen.

  • Le garrotín est un palo (style) flamenco, son origine est située en Catalogne, dans les provinces de Tarragone et sutout de Lérida.
    On considère que se sont les gitans de la province de Lérida qui ont inventé puis développé ce style flamenco.
    Le garrotín est longtemps resté inconnu jusqu'au moment où Federico García Lorca, passionné de flamenco, les Gitans et la Catalogne, a exprimé l'intêret qu'il y avait à découvrir ce flamenco non-andalou.
    Le garrotín fait partie des formes les plus anciennes de flamenco, il se chante aussi bien en catalan qu'en castillan, on le considère comme l'ancêtre de la rumba (catalane ou gitane).
  • Le garrotín est un palo (style) flamenco, son origine est située en Catalogne, dans les provinces de Tarragone et sutout de Lérida.
    On considère que se sont les gitans de la province de Lérida qui ont inventé puis développé ce style flamenco.
    Le garrotín est longtemps resté inconnu jusqu'au moment où Federico García Lorca, passionné de flamenco, les Gitans et la Catalogne, a exprimé l'intêret qu'il y avait à découvrir ce flamenco non-andalou.
    Le garrotín fait partie des formes les plus anciennes de flamenco, il se chante aussi bien en catalan qu'en castillan, on le considère comme l'ancêtre de la rumba (catalane ou gitane).
  • Granadinas/Granainas, appartiennent à la branche des chants andalous, styles de Malaga, appartient au groupe des libres. La Media Granadina, qui devrait être originaire de Granada, vient de l'ancient fandango (verdial) très utilisé dans les régions montagneuses de Ronda et Malaga. C'est pour cela qu¡on onclut la Media Granaina parmi les styles de Malaga. Chant de ligne mélodique claire, le marivaudage de la voix sert de pont aux changements de tonalité.
  • Style de Malaga. La media granaina qui devrait venir de Granada provient pourtant de l'ancien fandango (verdial), typique de Ronda et Malaga. C'est pourquoi on l'inclut dans les styles de Malaga. Chant de ligne mélodique claire.
  • Style de Malaga. La media granaina qui devrait venir de Granada provient pourtant de l'ancien fandango (verdial), typique de Ronda et Malaga. C'est pourquoi on l'inclut dans les styles de Malaga. Chant de ligne mélodique claire.
  • Guajiras, appartiennent à la branche Latino Américaine.
    La Guajira (mot qui veut dire « paysanne ») est un genre musical originaire de la région orientale de Cuba. La tradition attribue la paternité du genre au compositeur Jorge Ankerman (La Havane 1877-1941), avec le morceau « El Arroyo que murmura ».
    La Guajira est une chanson traditionnellement accompagnée par une guitare qui utilise un rythme lent (en 4/4) proche du son cubain.
    Les paroles (qui utilisent beaucoup le décasyllabe, « decima » en espagnol) évoquent généralement la vie rurale ou des histoires d'amour.
  • La "Caña" appartient à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des Soleares/Solea, un chant de base, style métrique de 12 temps, considérée comme le chant mère le plus important du flamenco. Son influence mélodique est incontournable, non seulement sur les chants mineurs, mais aussi sur quelques styles ancients fréquemment considérés comme originaux. Quelques-uns considèrent les soleas et les siguiriyas comme antérieures à la caña. Mais il est fort possible que ce soit la soleá qui s'ajoute à ce chant. La caña est très difficile à chanter, elle utilise et parcourt tous les registres de la voix. Pour l'exprimer de façon pure il est nécessaire d'avoir des facultés vocales exceptionnelles, pas uniquement une parfaite connaissance du style.

  • La "Caña" appartient à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des Soleares/Solea, un chant de base, style métrique de 12 temps, considérée comme le chant mère le plus important du flamenco. Son influence mélodique est incontournable, non seulement sur les chants mineurs, mais aussi sur quelques styles ancients fréquemment considérés comme originaux. Quelques-uns considèrent les soleas et les siguiriyas comme antérieures à la caña. Mais il est fort possible que ce soit la soleá qui s'ajoute à ce chant. La caña est très difficile à chanter, elle utilise et parcourt tous les registres de la voix. Pour l'exprimer de façon pure il est nécessaire d'avoir des facultés vocales exceptionnelles, pas uniquement une parfaite connaissance du style.
  • Chant des mines, métrique libre. Chants miniers, un des moins connus qui vient comme la Murciana, el Taranto et la Minera de la Taranta. Les travailleurs des mines les chataient lorsqu'ils allaient travailler.
  • Medias granadinas/granainas, appartiennent à la branche des chants andalous, styles de Malaga, appartient au groupe des libres. La Media Granadina, qui devrait être originaire de Granada, vient de l'ancient fandango (verdial) très utilisé dans les régions montagneuses de Ronda et Malaga. C'est pour cela qu¡on onclut la Media Granaina parmi les styles de Malaga. Chant de ligne mélodique claire, le marivaudage de la voix sert de pont aux changements de tonalité.
  • Appartient au groupe des soleas, style métrique de 12 temps. Chant flamenco du groupe des Cantiñas de Cadix. Romero el "Tito", cantaor populaire du XIXème a créé ce style à partir d'une ancienne Cantiña et lui donna ce nom de Romera.
  • Appartient au groupe des soleas, style métrique de 12 temps. Chant flamenco du groupe des Cantiñas de Cadix. Romero el "Tito", cantaor populaire du XIXème a créé ce style à partir d'une ancienne Cantiña et lui donna ce nom de Romera.
  • Romeras, appartiennent aux chants que l'on danse, au groupe des soelas, avec un style métrique de 12 temps. Chant flamenco du group des Cantiñas de Cadix. Romero le "Tito", chanteur populaire du XIXème d'Andalousie. D'une ancienne Cantiña il créé un style de danse, il le nommera appliquant son propre nom de famille, Romera.
  • Rondeñas, elles appartiennent à la branche des chants andalous, styles de Malaga, appartiennent aux groupes des libres. C'est un palo flamenco qui provient de la ville de Ronda, région de Malaga. Comme le reste des palos flamenco venant de Malaga, la Rondeña est antérieure au propre flamenco.
    Il s'agit d'une chanson/copla de quatre vers de huit syllabes, généralement de rime consonante, qui se convertit en cinq lorsqu'on répète le second, mais existe également sans répétition. Il s'agit d'une composition sans compás, dont les paroles s'identifient beaucoup avec la vie de la campagne. Ce chant a évolué durant les derniers temps, moins chargé de melismes et un peu plus lent qu'à ses débuts.
  • Style de Malaga. Un palo flamenco venant de la localité de Ronda. Comme le reste des palos flamenco de Malaga, la Rondeña est antérieure au propre flamenco. IL s'agit d'une copla de quatre vers octosyllabiques, généralement rimant en consonne, qui se convertit en cinq vers par répétition du second vers ou alors sans répétition. C'est une composition sans compasm dont les paroles s'identifient beaucoup avec la vie de la campagne. Durant ces dernières années elles ont évoulé, moins chargées de melismes et plus lentes.
  • La rumba est à l'origine un genre musical cubain, mais c'est aussi le nom donné à une danse de salon qui se danse sur des boléros. Il existe aussi la rumba flamenca et la rumba congolaise.

    La rumba naît à La Havane et Matanzas au milieu des années 1800 dans les milieux afro-cubains.
    Le mot (dérivé de l'espagnol rumbo, en route...) désigne les fêtes nocturnes où on se rassemble (souvent dans les cours d'immeubles, les « solares ») pour chanter et danser.
    C'est une musique faite de chants et de percussions, où le rythme qui démarre doucement va en s'accélérant.
    Au tout début, on utilisait les tiroirs des armoires (cajónes) ou des cageots de morue ou encore des petites cuillères en bois (cucharas), puis des congas.

    Au cours du XVIIIe siècle, la guaracha cubaine va être adoptée par les gitans de Séville en Espagne et au Portugal, et prendre le nom de rumba flamenca. Elle est avant tout une musique conviviale, peu compliquée (rythmique plutôt simple et répétitive plus solo) elle est idéale pour jouer à plusieurs, entre joueurs débutants et confirmés. Les Gipsy Kings en sont l'emblème, mais elle a été jouée aussi par de grands guitaristes flamenco comme Paco de Lucia (Río Ancho, Entre Dos Aguas) ou encore Paco Pena (La Lola).

    La naissance de la rumba catalana commence dans les rues du Raval de Barcelone avec des personnages tels que Orelles ou El Toqui. La rumba catalane est un dérivé de la rumba flamenca mais elle intègre des influences du son cubain et du mambo. Le plus important représentant de la rumba catalane, développée principalement à partir des années 60 est Peret, de son vrai nom Pedro Pubill Calaf, inventeur du ventilador. La rumba catalane mélange les ingrédients de la rumba flamenca, du son et du mambo mais également du rock. Parmi ses ambassadeurs les plus célèbres citons : Peret, Gato Perez ou Pescaílla...

  • La rumba est à l'origine un genre musical cubain, mais c'est aussi le nom donné à une danse de salon qui se danse sur des boléros. Il existe aussi la rumba flamenca et la rumba congolaise.

    La rumba naît à La Havane et Matanzas au milieu des années 1800 dans les milieux afro-cubains.
    Le mot (dérivé de l'espagnol rumbo, en route...) désigne les fêtes nocturnes où on se rassemble (souvent dans les cours d'immeubles, les « solares ») pour chanter et danser.
    C'est une musique faite de chants et de percussions, où le rythme qui démarre doucement va en s'accélérant.
    Au tout début, on utilisait les tiroirs des armoires (cajónes) ou des cageots de morue ou encore des petites cuillères en bois (cucharas), puis des congas.

    Au cours du XVIIIe siècle, la guaracha cubaine va être adoptée par les gitans de Séville en Espagne et au Portugal, et prendre le nom de rumba flamenca. Elle est avant tout une musique conviviale, peu compliquée (rythmique plutôt simple et répétitive plus solo) elle est idéale pour jouer à plusieurs, entre joueurs débutants et confirmés. Les Gipsy Kings en sont l'emblème, mais elle a été jouée aussi par de grands guitaristes flamenco comme Paco de Lucia (Río Ancho, Entre Dos Aguas) ou encore Paco Pena (La Lola).

    La naissance de la rumba catalana commence dans les rues du Raval de Barcelone avec des personnages tels que Orelles ou El Toqui. La rumba catalane est un dérivé de la rumba flamenca mais elle intègre des influences du son cubain et du mambo. Le plus important représentant de la rumba catalane, développée principalement à partir des années 60 est Peret, de son vrai nom Pedro Pubill Calaf, inventeur du ventilador. La rumba catalane mélange les ingrédients de la rumba flamenca, du son et du mambo mais également du rock. Parmi ses ambassadeurs les plus célèbres citons : Peret, Gato Perez ou Pescaílla...

  • Chant sans guitare, appartenant au groupe des libres.
    Une saeta est une courte chanson à caractère religieux chantée en l'honneur d'un paso lors des cérémonies de la Semaine Sainte en Espagne. A certains moments clefs du parcours d'un paso, un membre du public, ou de la confrérie responsable du paso peut entonner à pleins poumons une saeta. Il s'agit en fait d'une ode à la Vierge, au Saint ou au Christ du paso. Les saeta sont généralement des chansons extrêmement émouvantes. Il est coutumier que la foule entourant le passage du paso soit totalement silencieuse lors du chant de la saeta.
  • Appartient au groupe des seguiriyas, style métrique de 12 temps.
    La Seguiriya ou Siguiriya est un « palo » (style de chant) du flamenco. Il fait partie des chants de base regoupés sous le terme de «cante jondo». C'est un chant libre dont la structure rythmique est de douze temps, qui dans sa forme traditionnelle, se chante accompagné par un guitariste, mais on connait des versions a cappella sous sa forme primitive. Il dérive des chant a palo seco (voix seule), et est apparenté aux livianas et serranas, mais n'a pas de rapport avec la Séguédille qui est une danse andalouse, alors que la seguiriya ne se danse pas.
    Le style des seguiriyas varie selon les régions d'Andalousie. Celles de de Triana sont les plus anciennes. Les thèmes de ces chants sont souvent tragiques.

  • Appartient au groupe des seguiriyas, style métrique de 12 temps.
    La Seguiriya ou Siguiriya est un « palo » (style de chant) du flamenco. Il fait partie des chants de base regoupés sous le terme de «cante jondo». C'est un chant libre dont la structure rythmique est de douze temps, qui dans sa forme traditionnelle, se chante accompagné par un guitariste, mais on connait des versions a cappella sous sa forme primitive. Il dérive des chant a palo seco (voix seule), et est apparenté aux livianas et serranas, mais n'a pas de rapport avec la Séguédille qui est une danse andalouse, alors que la seguiriya ne se danse pas.
    Le style des seguiriyas varie selon les régions d'Andalousie. Celles de de Triana sont les plus anciennes. Les thèmes de ces chants sont souvent tragiques.
  • Seguirya, appartient à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des seguirya, un chant de base, style métrique de 12 temps. Egalement appelé "playera". Il s'agit d'un palo flamenco, chant tragique, fort, sombre et désolant, interprété de forme posée et lente. Un des "palos" flamencos des plus importants. Les paroles de ses chansons son tragiques qui reflètent la souffrance des relations humaines, l'amour et la mort. Composé de quatre vers de six syllabes pour le premier, deuxième et quatrième, et d'un endécasyllabe pour le troisième vers. Le deuxième vers et le quatrième riment en consonne ou assonant. La structure dans ce cas n'est pas stricte, le sentiment prime sur la forme, et il n'est pas rare trouvé des Seguiryas avec une autre métrique (7-7-11-7 et 8-5-11-6). Une forme moins connue est la structure 6-11-6, ici riment le premier et le troisième vers et on répète le deuxième vers..

  • La Seguiriya ou Siguiriya est un « palo » (style de chant) du flamenco. Il fait partie des chants de base regoupés sous le terme de «cante jondo». C'est un chant libre dont la structure rythmique est de douze temps, qui dans sa forme traditionnelle, se chante accompagné par un guitariste, mais on connait des versions a cappella sous sa forme primitive. Il dérive des chant a palo seco (voix seule), et est apparenté aux livianas et serranas, mais n'a pas de rapport avec la Séguédille qui est une danse andalouse, alors que la seguiriya ne se danse pas.
    Le style des seguiriyas varie selon les régions d'Andalousie. Celles de de Triana sont les plus anciennes. Les thèmes de ces chants sont souvent tragiques.


    Les répertoires de la seguiriya sont répartis selon leurs apparitions dans le territoire du cante jondo, qui comprend les provinces de Séville et de Cadix. Les seguiriyas de Triana sont les plus anciennes, suivent celles de Los Puertos, de Cadix, et de Jerez. Ces répertoires se développent à partir de la fin du XVIIIeme siècle jusqu'aux années 1940

  • Serranas, appartiennent à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des seguiryas, métrique de 12 temps, groupe des seguiryas. La Serrana est un chant de campagne andalous. La Serrana a également vécu dans les vignes de Jerez. Après, la serrana de la campagne est passée dans les villes et a cherché dans les six cordes de la guitare rythmique un appui pour l'accompagner.

  • La sevillana est une danse populaire espagnole originaire de Séville, qui se danse à deux, à un ou plusieurs couples, en cercle ou en groupe.
    Cette danse traduit à la fois l'approche, l'affrontement, la fuite et l'amour. Elle est exécutée sur une mélodie chantée.


    Les origines de la sévillane demeurent assez obscures. La sevillana est la danse traditionnelle, folklorique de Séville, mais comme c'est également un berceau du flamenco, les deux sont mélangés depuis longtemps. Toutefois, des influences se devinent, telles que la danse orientale ou extrême-orientale. Dès le XVIIe siècle apparaît une forme de danse, dérivée des chacona (chaconne) et zarabanda (sarabande) des XVe et XVIe siècles, très populaires à travers toute l'Espagne, la seguedilla. En Andalousie, elle prend le nom de seguedilla sevillana, puis de sevillana.
    Actuellement, on peut la danser lors de ferias et/ou romerias en Espagne (Sevilla, Jerez, Barcelone ...) mais également dans le sud de la France (Arles, Nîmes, Dax, Mauguio, Béziers ...) dans des casetas (tentes) réservées ou non à cet effet. La sevillana se danse a deux ou en carré.


    Les sévillanes se dansent par séries de quatre coplas (danse) à la fin desquels le couple s'immobilise, un bras en l'air, avec une pose de quelques secondes. Cet arrêt, qu'il faut marquer nettement, s'appelle le bien parado (l'arrêt bien fait).
    Chaque sévillane a une chorégraphie différente, de la plus simple à la plus difficile. Elles ont le nom de leurs positions chronologiques : primera, segunda, tercera et cuarta. Chaque sévillane est partagée en 3 parties correspondant aux trois strophes de chaque chanson, illustrées par des pas et des figures distincts. Quatre couplets sont exécutés à la suite ; entre chacun d'eux on marque un bref arrêt. Le final, est identique pour les 4 sévillanes.
    Une légende veut attribuer à chacune des parties de cette danse une connotation romantique : la rencontre, la séduction, la dispute et la réconciliation. S'il y a quatre danses dans une sevillana, il y a aussi quatre raisons qui neutralisent cette pseudo-légende:1+1=2


    Il est important de rejeter son buste en arrière, d'élever et d'arrondir les bras et de tourner les paumes des mains vers l'extérieur.
    La sévillane est la danse même de la séduction : la femme avance, puis se dérobe, elle aguiche d'un pli relevé de sa jupe. Les corps se frôlent, ne se rencontrent pas ; ce sont les yeux qui jouent, les regards plantés l'un dans l'autre, et c'est seulement dans le dernier geste du bien parado qu'enfin la femme s'abandonne dans les bras de son danseur.

  • La sevillana est une danse populaire espagnole originaire de Séville, qui se danse à deux, à un ou plusieurs couples, en cercle ou en groupe.
    Cette danse traduit à la fois l'approche, l'affrontement, la fuite et l'amour. Elle est exécutée sur une mélodie chantée.
    Les origines de la sévillane demeurent assez obscures. La sevillana est la danse traditionnelle, folklorique de Séville, mais comme c'est également un berceau du flamenco, les deux sont mélangés depuis longtemps. Toutefois, des influences se devinent, telles que la danse orientale ou extrême-orientale. Dès le XVIIe siècle apparaît une forme de danse, dérivée des chacona (chaconne) et zarabanda (sarabande) des XVe et XVIe siècles, très populaires à travers toute l'Espagne, la seguedilla. En Andalousie, elle prend le nom de seguedilla sevillana, puis de sevillana.
    Actuellement, on peut la danser lors de ferias et/ou romerias en Espagne (Sevilla, Jerez, Barcelone ...) mais également dans le sud de la France (Arles, Nîmes, Dax, Mauguio, Béziers ...) dans des casetas (tentes) réservées ou non à cet effet. La sevillana se danse a deux ou en carré


    Les sévillanes se dansent par séries de quatre coplas (danse) à la fin desquels le couple s'immobilise, un bras en l'air, avec une pose de quelques secondes. Cet arrêt, qu'il faut marquer nettement, s'appelle le bien parado (l'arrêt bien fait).

    Chaque sévillane a une chorégraphie différente, de la plus simple à la plus difficile. Elles ont le nom de leurs positions chronologiques : primera, segunda, tercera et cuarta. Chaque sévillane est partagée en 3 parties correspondant aux trois strophes de chaque chanson, illustrées par des pas et des figures distincts. Quatre couplets sont exécutés à la suite ; entre chacun d'eux on marque un bref arrêt. Le final, est identique pour les 4 sévillanes.

    Une légende veut attribuer à chacune des parties de cette danse une connotation romantique : la rencontre, la séduction, la dispute et la réconciliation. S'il y a quatre danses dans une sevillana, il y a aussi quatre raisons qui neutralisent cette pseudo-légende:1+1=2

    1) les couplets des premières sevillanas étaient au nombre de sept : quatre pour la danse populaire et trois pour la classique Bolera.
    2) les couplets des premières sevillanas étaient écrits individuellement et traitaient de sujets très différents les uns des autres - Ils étaient rassemblés par quatre pour pouvoir danser.Il faut attendre les compositeurs modernes pour trouver des sevillanas écrites avec un thème unique.
    3) Il n'existe pas à ma connaissance de sevillanas composées de couplets traitant de ces thèmes dans cet ordre.
    4) Une grande partie des sevillanas est Rociera. Même si elles ne parlent pas systématiquement de la Vierge (Virgen) elles s'y réfèrent très souvent- Vous vous voyez vous disputer avec la vierge?


    C'est sans doute pour aider les jeunes danseurs (non hispaniques) à s'exprimer que cette dérive est née.


    Il est important de rejeter son buste en arrière, d'élever et d'arrondir les bras et de tourner les paumes des mains vers l'extérieur.

    La sévillane est la danse même de la séduction : la femme avance, puis se dérobe, elle aguiche d'un pli relevé de sa jupe. Les corps se frôlent, ne se rencontrent pas ; ce sont les yeux qui jouent, les regards plantés l'un dans l'autre, et c'est seulement dans le dernier geste du bien parado qu'enfin la femme s'abandonne dans les bras de son danseur.

  • Soleares, appartient à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des soleares, un chant de base.
    Alegrias. Les Alegrias appartiennent à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des soleares/solea, chants de danse, style métrique de 12 temps. Un chant festif flamenco quie fait partie du groupe des chants de Cadiz (appelés Cantiñas). Sa chanson ou strophe est généralement de quatre vers octosylabiques. Sa mélodie incite à la danse. Son rythme est conditionné par la métrique du compas/mesure de la solea, mais est différente de la soleá parce que son tempo est beaucoup plus rapide. Un style léger, joyeux et sensuel, avec un rythme claire, très dansant.

  • Soleares, appartiennent aux chants de base.
    La Soleá est un des palos (styles) de chant, de guitare, de rythme et de danse les plus important et fondamental du flamenco. Elle fait partie des cante jondo (Chants profonds). On retrouve le compás de la Soleá dans d'autres styles comme l'Alegrías, la Bulerías et même la Seguiriya.

    En espagnol, "solea" est une contraction de "soledad", qui signifie "solitude". La solea se caractérise par un rythme lent et élastique, et par des textes de chant souvent dramatiques.

  • Tangos, appartiennent à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des tientos, chants dansant. Un palo du flamenco avec copla (chanson), de trois ou quatre vers octosyllabes. Considérés comme un des styles basiques du flamenco, il en existe différentes modalités, parmi lesquelles ressortent celles de Cadiz, Triana, Jerez et Malaga. Toutes les théories indiquent que l'origine du tango se situe entre Cadiz et Séville, et on écarte la possibilité de toute relation avec le tango argentin. Il est très probable qu'ils proviennent des ancients chants dansants du XIXème siècle, peu à peu ils se modifieront jusqu'à atteindre la forme actuelle, un chant à 4/4 en toutes les tonalités possibles. Ses premiers interprètes connus furent El Mellizo et Aurelio Sellés de Cádiz, Pastora Pavón et el Titi de Sevilla, Frijones et el Mojama de Jerez, et La Pirula, la Repompa et el Piyayo de Málaga.

  • Tangos, appartiennent à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des tientos, chants dansant. Un palo du flamenco avec copla (chanson), de trois ou quatre vers octosyllabes. Considérés comme un des styles basiques du flamenco, il en existe différentes modalités, parmi lesquelles ressortent celles de Cadiz, Triana, Jerez et Malaga. Toutes les théories indiquent que l'origine du tango se situe entre Cadiz et Séville, et on écarte la possibilité de toute relation avec le tango argentin. Il est très probable qu'ils proviennent des ancients chants dansants du XIXème siècle, peu à peu ils se modifieront jusqu'à atteindre la forme actuelle, un chant à 4/4 en toutes les tonalités possibles. Ses premiers interprètes connus furent El Mellizo et Aurelio Sellés de Cádiz, Pastora Pavón et el Titi de Sevilla, Frijones et el Mojama de Jerez, et La Pirula, la Repompa et el Piyayo de Málaga.

  • Les Tarantas appartiennent à la branche des chants andalous, chants dits du Levante, de l'Est, provenant des provinces orientales, Almeria et Murcia, chants des mines, et métrique libre, appartient au group des tangos et son style métrique est binaire. Principal chant du style "levantino", sans aucun doute, la Taranta. Chant long, dur, très masculin, sans autre influence à ses débuts que celle du fandango. La taranta est le chant des mines par excellence. Nées dans les bassins miniers les plus inhospitaliers, la taranta reflète l'effort surhumain au travers des ses passages tourmentés, ainsi que la terrible fatigue des premiers cultivateurs.
    Chant chromatique et donc très expressif, la guitare sert d'appui pour la tonalité et à maintenir le rythme.
  • Les Tarantas appartiennent à la branche des chants andalous, chants dits du Levante, de l'Est, provenant des provinces orientales, Almeria et Murcia, chants des mines, et métrique libre, appartient au group des tangos et son style métrique est binaire. Principal chant du style "levantino", sans aucun doute, la Taranta. Chant long, dur, très masculin, sans autre influence à ses débuts que celle du fandango. La taranta est le chant des mines par excellence. Nées dans les bassins miniers les plus inhospitaliers, la taranta reflète l'effort surhumain au travers des ses passages tourmentés, ainsi que la terrible fatigue des premiers cultivateurs.
    Chant chromatique et donc très expressif, la guitare sert d'appui pour la tonalité et à maintenir le rythme.
  • Les Tarantas appartiennent à la branche des chants andalous, chants dits du Levante, de l'Est, provenant des provinces orientales, Almeria et Murcia, chants des mines, et métrique libre, appartient au group des tangos et son style métrique est binaire. Principal chant du style "levantino", sans aucun doute, la Taranta. Chant long, dur, très masculin, sans autre influence à ses débuts que celle du fandango. La taranta est le chant des mines par excellence. Nées dans les bassins miniers les plus inhospitaliers, la taranta reflète l'effort surhumain au travers des ses passages tourmentés, ainsi que la terrible fatigue des premiers cultivateurs.
    Chant chromatique et donc très expressif, la guitare sert d'appui pour la tonalité et à maintenir le rythme.
  • Appartient au groupe des tangos, style métrique binaire. Créé à Almeria et descendant de la Taranta, il se différencie de la Taranta de part son compas, qui offre la possibilité de le danser commande la Zambra. Ce chant provient de la zone minière d'Almeria. Chant des mines.
    Née dans les bassins miniers les plus inhospitalières, la taranta reflète le tourment, l'effort surhumain et la terrible fatigue des cultivateurs. Chant chromatique et donc très expressif. La guitare sert d'appui pour la tonalité et maintient le rythme.
  • Tientos, appartiennent à la branche du chant gitan et s'inclut dans la famille des tientos, chants dansants appartenant au groupe des tangos, style métrique binaire. Il existe un genre de composition de musique classique qui pourrait s'appeler Tiento (au singulier) et qui n'a rien à voir avec la définition antérieure. Du point de vue de la métrique la copla/chanson contient trois ou quatre vers octosyllabiques suivis par un refrain. Provenant du Tango Flamenco, même si son rythme est plus lent, c'est pour cela qu'on l'appelait tango tiento auparavant.

  • Les Tientos appartiennent aux chants dansants, un palo binaire, du groupe des tangos. Il existe un type de composition en musique classique qu l'on appelle Tiento (au singulier) et qui n'a rien à voir avec la définition antérieure. Métriquement la copla comprend trois ou quatre vers octosyllabiques suivis d'un refrain. Vient du Tango flamenco, même si son rythme est plus lent, c est pour cela qu'il s'appelait tango-tiento.
  • Les Tientos appartiennent aux chants dansants, un palo binaire, du groupe des tangos. Il existe un type de composition en musique classique qu l'on appelle Tiento (au singulier) et qui n'a rien à voir avec la définition antérieure. Métriquement la copla comprend trois ou quatre vers octosyllabiques suivis d'un refrain. Vient du Tango flamenco, même si son rythme est plus lent, c est pour cela qu'il s'appelait tango-tiento.
  • Les verdiales sont des fêtes populaires accompagnées d'une formation musicale appelée pada. Création artistique paysanne qui provient de certaines zones de la province de Málaga (Andalousie, Espagne) comme, par exemple la région de l’Axarquía, la vallée du Guadalhorce et les monts de Málaga, les verdiales constituent un style particulier de chant et de danse, accompagnés d’un groupe de musique composé d'un violon, de deux à quatre guitares, d'un tambourin, d'au moins deux cymbales, de castagnettes et parfois d'une mandoline. Cet ensemble de chanteurs, danseurs et musiciens est appelé en argot la Bande de verdiales et les spectacles se nomment la Fête des verdiales. Le mot verdiales provient de la région d’oliveraies de Málaga, où se cultive un type d’olives nommé verdial, qui restent vertes une fois mûres.

    Les verdiales sont d’un grand intérêt musicologique pour trois raisons :

    1) son ancienneté : selon les spécialistes de flamenco, les verdiales sont la forme la plus primitive de fandango de Málaga et peut-être aussi du fandango andalou en général. On va même jusqu’à dire que « le fandango le plus ancien de l’histoire du flamenco est sans doute celui de Málaga » sous ses deux formes (fandango abandonao et verdiale) ; 

    2) sa pureté : il s’agit d’un fandango campagnard qui, selon les spécialistes, a très peu évolué et a su conserver sa nature primitive, rude et authentique ; 

    3) sa vitalité : à l'inverse des autres manifestations andalouses qui ont perdu leur essence à cause de la disparition du contexte culturel et de son « académisation », les verdiales ont continué de se transmettre de père à fils sans interruption jusqu’à nos jours ; c’est pourquoi il s’agit d’un véritable modèle de folklore vivant et rare. 

    Jusqu'au milieu du siècle passé, les verdiales étaient considérés comme du folklore campagnard, mais peu à peu l'exode rural des paysans vers la capitale Málaga a rapproché ce type de fandango de celui de la ville, jusqu’à ce que les verdiales soient devenus presque un symbole de l’identité collective de la province de Málaga.

  • Les verdiales sont des fêtes populaires accompagnées d'une formation musicale appelée pada. Création artistique paysanne qui provient de certaines zones de la province de Málaga (Andalousie, Espagne) comme, par exemple la région de l’Axarquía, la vallée du Guadalhorce et les monts de Málaga, les verdiales constituent un style particulier de chant et de danse, accompagnés d’un groupe de musique composé d'un violon, de deux à quatre guitares, d'un tambourin, d'au moins deux cymbales, de castagnettes et parfois d'une mandoline. Cet ensemble de chanteurs, danseurs et musiciens est appelé en argot la Bande de verdiales et les spectacles se nomment la Fête des verdiales. Le mot verdiales provient de la région d’oliveraies de Málaga, où se cultive un type d’olives nommé verdial, qui restent vertes une fois mûres.

    Les verdiales sont d’un grand intérêt musicologique pour trois raisons :

    1) son ancienneté : selon les spécialistes de flamenco, les verdiales sont la forme la plus primitive de fandango de Málaga et peut-être aussi du fandango andalou en général. On va même jusqu’à dire que « le fandango le plus ancien de l’histoire du flamenco est sans doute celui de Málaga » sous ses deux formes (fandango abandonao et verdiale) ;
    2) sa pureté : il s’agit d’un fandango campagnard qui, selon les spécialistes, a très peu évolué et a su conserver sa nature primitive, rude et authentique ;
    3) sa vitalité : à l'inverse des autres manifestations andalouses qui ont perdu leur essence à cause de la disparition du contexte culturel et de son « académisation », les verdiales ont continué de se transmettre de père à fils sans interruption jusqu’à nos jours ; c’est pourquoi il s’agit d’un véritable modèle de folklore vivant et rare.


    Jusqu'au milieu du siècle passé, les verdiales étaient considérés comme du folklore campagnard, mais peu à peu l'exode rural des paysans vers la capitale Málaga a rapproché ce type de fandango de celui de la ville, jusqu’à ce que les verdiales soient devenus presque un symbole de l’identité collective de la province de Málaga.

  • Villancico (chant de Noël) appartient à la branche folklorique, chant purement gitan qui s'habitude se chante durant les fêtes de Noël, très festif, avec beaucoup de compas plus ou moins comme la Solea. Né à Jerez.
  • C'est un chant espagnol accompagné à la guitare sur un rythme à 2 ou 4 temps. Les Gitans l'exécutent lors des fêtes zambra célébrées dans le sud du pays.
    Sorte de tango plus ou moins lent, mais très appuyé, avec des mélodies très arabisantes.

  • Appartient au groupe des polyrythmiques.
    Le zapateado est une danse traditionnelle espagnole en 6/8, très rythmée et vive, exécutée pour démontrer l'agilité et l'habileté des pieds du danseur, notamment par des claquements de talons (taconeado).
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