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13

SEP

Yoko Komatsubara: "Le flamenco est presque notre propre art au Japon"

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Yoko Komatsubara irá de gira con su nuevo espectáculo, "Pasión del flamenco", por 16 ciudades japonesas en colaboración con el Instituto Andaluz del Flamenco.
Yoko Komatsubara

Yoko Komatsubara, danseuse, chorégraphe et directrice d'écoles de flamenco au Japon lance une tournée pour son nouveau spectacle, "Passion Flamenca" dans 16 villes japonaises en collaboration avec l'Institut Andalous de Flamenco. Elle a déclaré: «Le flamenco est presque notre art au Japon. "

Avec plus de deux cents étudiantes de 12 académies de danse flamenco à travers le Japon, dont le siège est à Tokyo, Komatsubara assume la direction et la chorégraphie, celle-ci en collaboration avec Currillo Bormujos de «passion du flamenco», qui se déroulera du 20 Septembre au 14 Octobre.

La directrice affirme que son ambition est que le flamenco soit mieux connu à travers le monde et encore plus profondément au Japon. POur se faire, elle organise des compétitions annuelles entre ses étudiants et les gagnants remportent des bourses pour aller étudier dans les meilleures écoles sévillannes. Elle collabore aussi avec la fondation japonaise Min-sur, une entité étatique dédiée à l'établissement de liens culturels entre les différentes cultures.

Yoko Komatsubara, veterana bailaora, coreógrafa y directora de escuelas y tablaos flamencos en Japón
Le spectacle commencera avec des frandangos, rondeñas et malagueñas, pour continuer avec des Soléas, une
adaptation de la "danse du feu" de Manuel de Falla, alegrias, seguidillas et un final de fête dans lequel actura
Komatsubara. Le spectacle inlcut une brève conférence de la chorégraphe japonaise illustrée par un cantaor, dans laquelle
elle expliquera chacun de ces Palos, car les tournées de ses spectacles, qu'elle a aussi emmené aux USA et en Amérique du
sud, en Chine et en Corée, sont didactiques et permettent la diffusion du flamenco.
"Passion du flamenco" intègre un cadre d'une douzaine de danseuses japonaises, et aussi les danseurs Juan Ogalla, Andoitz Ruibal et
Antonio Buendía, les chanteurs David Palomar et Miguel de Badajoz et le guitariste Juan Carlos Berlanga qui ont été
recrutés par l'institut andalous de flamenco. Komatsubara a été désolée de recruter des danseurs espagnols par manque
de danseurs japonais, car dans ses académies, il y a maintenant plus de 200 filles apprenant à danser le flamenco mais
seulement 2 garçons, qui ne sont meme pas encore prêts à monter sur scène. Juan Carlos Berlanga, qui aujourd'hui a
acompagné avec Juan Ogalla, l'artiste japonaise, a assuré que Komatsubara et que les danseurs japonais les ont encore
mieux reçus que lorsqu'ils travaillent en Espagne, et que la directrice "bien que qu'elle ait de grandes idées, comme
la maitresse qu'elle est, elle nous donne toujours une grande liberté". Berlanga actue au Japon depuis 20 ans et Ogalla a une
expérience dans ce pays, dans lequel le public comprend vraiment ce qu'est le flamenco. Komatsubara a ajouté: "POur sentir,
les espagnols et les japonais sont égaux mais l'expression est très différentes; les espagnols
se mettent en colère et pleurent quand ils aiment, mais à cause de notre éducation ancienne, nous devons tout supporter
et rire devant les gens, était très mal éduqué".

Commentaires

  • Antonio

    A Yoko Komatsubara le pasa como a muchos de nosotros ''sin el flamenco no puedo vivir''

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